«TOUT ÉTAIT POSITIF, J’AI DIT OUI!»
Officialisé hier en début de soirée, Noë Dussenne a rejoint le FC Lausanne-Sport pour les trois prochaines saisons. Le défenseur central belge s’est depuis confié dans les colonnes du Matin et du 24heures. Découvrez quelques moments choisis de son entretien.
«J’avais aussi envie de sortir un peu de ma zone de confort. J’ai senti que c’était une bonne opportunité de venir, parce qu’on me voulait vraiment. Quand on insiste, qu’on se sent vraiment désiré et qu’on te dit de belles choses, tu as envie d’y croire. Tu as envie de t’inscrire dans le projet. Je n’ai pas eu ce feeling avec les autres équipes qui m’ont contacté.»
«Là, ça fait six ans que je suis avec ma femme et nous avons un enfant. On s’est dit qu’il serait intéressant d’avoir une nouvelle opportunité de vie, de changer d’air, de découvrir quelque chose. Elle s’est présentée aujourd’hui et on est très contents d’être ici.»
«Pour Lausanne, on m’en a dit beaucoup de bien. Que ça vienne de la famille, des amis, d’Adrien Trébel ou de joueurs que je connais. Tout était positif, j’ai dit oui.»
«Ça a commencé par une année noire, avec ma blessure au genou (ndlr: une rupture des ligaments croisés). Dans la foulée, je suis revenu en force, avant d’être mis de côté deux ou trois mois. Et puis je suis encore revenu, en tant que capitaine. La saison dernière, j’avais toujours le brassard et ça s’est très bien passé.»
«J’aurais volontiers parlé aussi en anglais. Parce que je pense que c’est important d’avoir une ouverture d’esprit. Parler une autre langue ne m’aurait pas dérangé et ma femme non plus. On était très ouverts là-dessus.»
«Je me suis renseigné un peu partout, notamment auprès d’Adrien Trébel (ndlr: qui avait été prêté six mois au LS par Anderlecht à la fin de la saison 2021/2022) que je connais. Il m’a dit énormément de bien de la ville et que c’était magnifique.»
«J’avais notamment regardé des photos avant d’aller en Italie et la réalité était très loin de ce que j’avais pu voir. Pour Lausanne, on m’en a dit beaucoup de bien. Que ça vienne de la famille, des amis, d’Adrien Trébel ou de joueurs que je connais. Tout était positif, j’ai dit oui.»
«Le Standard Liège est un club intense. C’est un volcan! Quand ça va, ça pète. Mais quand ça ne va pas, ça pète aussi… Ça a été quatre merveilleuses années que j’ai vécu là-bas.»
«Je me réjouis de découvrir le championnat et les matches.»